Au travers de son réseau culturel en Allemagne, la France est présente dans 25 villes, soit au travers des antennes de l’Institut français d’Allemagne, soit au travers des centres franco-allemands partenaires.
Panneau 6
L’Institut entre 1970 et 2000 : trois jubilés marquants
Note : Le contenu de ce panneau retrace les programmes et évènements majeurs des années de jubilés entre 1970 et 2000. Le contexte est lisible dans les articles de presses affichés, résumés en français ici.
1977 : 25 ans de l’Institut. Le programme culturel à l’époque où l’article du General Anzeiger est publié prévoit : une exposition sur les médailles françaises à la bibliothèque de l’université, une nuit du théâtre à Bad Godesberg, un concert dans la salle des fêtes de l’université, des expositions à l’Institut et au Kulturforum de la ville de Bonn, un récital de chant, ainsi que plusieurs films et conférences. En parallèle, l’Institut propose toujours des cours de langue et des manifestations traitant de la vie culturelle et politique française. Le principal évènement de cette année de jubilé est la venue de l’artiste Victor Vasarely et une exposition de ses œuvres en partenariat avec la ville de Bonn.
1982 : 30 ans de l’Institut. À cette occasion est fait venir par l’Institut le dramaturge Eugène Ionesco qui y donne une conférence. Il signe le livre d’or de la ville de Bonn (photo de l’article du General Anzeiger) et sa séance de dédicace dans une librairie de la ville est qualifiée de « visite du siècle » (Jahrundertbesuch) par le journaliste tant les étudiants et habitants de Bonn s’y sont pressés.
1997 : double anniversaire, l’Institut fête ses 45 ans et les 35 ans de son rattachement à l’université de Bonn. Cet événement est célébré par un « marathon de manifestations » (Veranstaltungsmarathon) ainsi qu’une décoration de la façade du bâtiment au 35. Adenauerallee par l’artiste François Morellet, qui consacre une exposition au musée d’art de Bonn la même année. L’œuvre est nommée « eine Neigung für die Kultur », « Un penchant pour la culture », et sert notamment, selon la directrice de l’époque Line Sourbier-Pinter, à ce que l’Institut se présente extérieurement comme une partie du quartier des musées.
